Quizz n° 22 La Polynésie Française Collectivité d'Outre Mer

Question 1

Le saint tahitien est un fromage.

L’unique production de fromages en Polynésie !

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A deguster

Le poisson cru préparé à la tahitienne

La première spécialité culinaire Polynésienne que l’on peut citer est sans conteste le poisson cru à la Tahitienne. Vous dégusterez un morceau de thon cru, finement assaisonné avec du lait de coco et avec comme accompagnement du riz et des frites.

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Pour en avoir mangé  plusieurs fois,  moi qui n’était  pas poissons, je vous assure que c’est un délice.

A voir
Le musée  de la perle.
Ce musée, l'un des seuls du genre au monde, accueille en ses murs la plus grosse perle tahitienne jamais récoltée. Rares, les perles noires sont tout autant exceptionnelles aujourd'hui qu'elles ne pouvaient l'être dans la littérature pirate et dans la mythologie. Un vent mystique souffle sur ce musée qui vous expliquera toute l'importance culturelle des perles à travers des récits, des expositions historiques et des œuvres d'art.
Vos yeux brilleront devant la perle de Robert Wan, l'une des plus grosses au monde. Ces rares trésors sont un fort indicateur de richesse et fortement liées au mystique. Comment sont produites les perles et quelle est leur place dans la nature ? Vous trouverez toutes les réponses au musée. Des coquilles de mollusques du monde entier, de toutes formes et couleurs, sont exposées sur place.
Le bikini de perles que porte une danseuse tahitienne est une petite merveille. La boutique et les étales installées sur le front de mer vous proposeront une sélection de perles et de souvenirs.
Les perles noires jouissent d'un prestige unique en raison de leur rareté. Également appelées perles tahitiennes, on ne les trouve quasiment que dans la région. La récolte de perles est par ailleurs l'une des secteurs les plus importants de l'île, la grande majorité des perles étant exportées. Les perles noires ne sont pas toujours... noires ! On en trouve de différentes teintes sombres, avec des nuances colorées.
Le musée est aussi connu sous le nom de Musée de la perle Robert Wan en l'honneur d'un célèbre habitant de l'île qui possède un grand nombre de perles. Le musée est ouvert toute la journée mais est fermé le dimanche. L'entrée est gratuite.

Le Musée de la perle est situé dans le centre historique de Papeete, non loin de la Cathédrale de l'Immaculée-Conception et du Parc Bougainville. Il se trouve au nord-ouest de l'île et offre un joli panorama sur la baie de Nanuu. Le musée est facilement accessible par les transports publics.

Question 4 :

C'est une bière.

Hinano est une marque de bière produite (en partie) à Tahiti par la brasserie de Tahiti, en Polynésie française. 
Elle est de loin, la marque la plus populaire en Polynésie française. 
La bière Hinano vendue en France n'est plus importée de Tahiti. 
Comme le mentionne son étiquette, elle est brassée en France sous licence par I.B.B. International Breweries and Beers à 62220 Carvin.

C’est en 1955 que naît la bière Hinano avec son inimitable logo, une vahiné dessinée par Pierre Heyman qui contribuera sans nul doute au succès de la marque. 
Quand Yves Martin, le patron de la Brasserie de Tahiti, décide que sa nouvelle bière s’appellera Hinano c’est avant tout parce que le nom sonne bien et qu’il est facile à prononcer dans toutes les langues... 
Dès sa création la marque Hinano est associée à de nombreux événements aussi festifs que les élections de miss ou les compétitions de surf. 
Mais l'événement le plus prestigieux sponsorisé par la fameuse boisson reste sans doute la célèbre course de pirogue Hawaiki Nui Va'a.

                                                                

Bravo les filles     
Loubete tout juste pour la question 1 
Athéna pareil pour la question 4 
Vagabonde pareil pour la 8

Question 2 :

Le aparima (ʻaparima en tahitien) est une danse polynésienne liée au ’ori tahiti. 
C'est une danse de groupe, comme le ’otea, mais au rythme plus lent, où le ukulele, parfois la guitare, et le chant se joignent fréquemment aux percussions to'ere et pahu. 
C'est un récit légendaire chanté et dansé, où le mouvement des bras et mains décrivent ce récit gestuel : apa désigne les gestes et rima les mains. 
Le ʻaparima hīmene désigne le ʻaparima chanté, et le ʻaparima vāvā en est la version uniquement dansée et instrumentale.

 Bravo Athéna

Question 5

En langue tahitienne, le « titi » se traduit par la « poitrine de la femme ». Ainsi, le « titi coco » comme on l’entend fréquemment dans le langage courant désigne un soutien-gorge en noix de coco.
Taillé dans une demi-noix de coco, il est ensuite poli puis verni pour un plus grand confort. Il s’adapte facilement aux tailles standards pour les femmes. Plus plat, le modèle fillette est creusé dans des noix de coco plus jeunes et plus petites : il peut être utilisé jusqu’à la puberté selon la croissance.
Les femmes et les fillettes portent les « titi coco » à même le corps à l’occasion des danses traditionnelles, appelées « ori tahiti ». Elles sont alors vêtues d’un simple paréo noué autour de la taille. Ce costume est couramment exhibé lors des galas de fin d’année des écoles de danse, aussi bien par les fillettes que par leurs mamans. La danse tahitienne fait en effet partie intégrante de la vie locale et l’apprentissage commence dès le plus jeune âge.
Le more (prononcé /ˈmore/) est l’écorce interne de l'Hibiscus tiliaceus (appelé en tahitien pūrau), avec laquelle on fabrique des cordes, des nattes, des costumes de danse et des sandales. En Polynésie française, la jupe du costume de danse tahitienne (’ahu more) est souvent nommée simplement more.

   Bravo Loubete tu as raison pour la question 5

A deguster

Le poulet Fafa

Autre grande spécialité de Polynésie, le poulet Fafa qui ravira vos papilles grâce à un mélange subtil de poulet mariné avec du lait de coco et des épinards locaux que l’on nomme Fafa. Il reste un plat convivial que vous prendrez plaisir à partager en famille.
Le fafa est la feuille issue d’une variété de taro (aussi appelé songe, madère, chou chine ou dachine). Appelé plus communément « épinard polynésien», le fafa est riche en sels minéraux, fer et calcium. Il réclame une cuisson longue afin d’éviter toute irritation sur la langue quand on le consomme. Le fafa accompagne traditionnellement le poulet.

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A voir.

Le marché  de Papeete. 
Avez-vous envie de découvrir un peu plus la vie locale des habitants de Tahiti ? Si c’est le cas, nous vous donnons rendez-vous au marché de Papeete tous les dimanches très tôt le matin. Et quand nous disons très tôt ce n’est pas 7h du matin mais plutôt vers 5h00 du matin. En effet, le dimanche, le marché de Papeete s’anime dès 4h00 du matin. Eh oui faut être matinal pour pouvoir profiter des meilleurs produits du Fenua.

Le marché peut être considéré comme le cœur de Papeete. Vous y retrouverez les poissons du lagon et du large fraichement pêchés, les légumes et  fruits locaux et des produits artisanaux.

Toute la gastronomie de la Polynésie y est présente tout en passant par les saveurs polynésiennes et chinoises de Tahiti. Nous vous recommandons vivement d’aller chez un des vendeurs de « Pua roti », porc croustillant et porc laqué. Les polynésien mange cette nourriture avec une baguette de pain pour le petit déjeuné du dimanche. Vous verrez sans doute de très longues files d’attente pour avoir son puaroti. Goutez aussi le firi firi, c’est un beignet très célèbre ici en Polynésie. Il sera parfait pour votre petit déjeuné. Vous aurez surement aussi l’occasion d’acheter les ingrédients pour faire un bon poisson cru au lait de coco. Eh oui, tous les ingrédients pour réaliser un bon ma’a Tahiti sont présent au marché de Papeete.

Le marché est un lieu cosmopolite, vous entendrez parler Tahitien, Français et hakka (dialecte chinois parlé par les chinois de Tahiti).  Le marché est vraiment un lieu convivial où la culture polynésienne y est vraiment présente. Se rendre au marché le dimanche est une étape incontournable pour voir la vie locale des polynésiens.  C’est un lieu authentique qui a réussi à garder un charme exceptionnel durant toutes ces années. 

Question 3

L’ile de Hiva Oa
Atuona, le chef-lieu de l’île, garde la mémoire de deux visiteurs de marque : Paul Gauguin et Jacques Brel. Le village conserve de nombreuses traces de leurs passages.
Hiva Oa (la plus grande des îles du sud) a toujours été la rivale de Nuku Hiva qui est aujourd’hui la capitale administrative des Marquises. Toutefois, Hiva Oa reste l’île la plus importante du groupe Sud.

 Bravo Loubete pour la question 3

Question 4

Le taro, l’ancienne nourriture de base des polynésiens. 
Le Taro, ou Colocasia esculenta, qui a pendant longtemps été la nourriture de base dans les îles polynésienne est une plante herbacée au tubercule comestible d’origine indo-mélanésienne.
D’après la légende polynésienne de l’origine des plantes, Le Taro fut engendré par les pieds de l’homme et ses poumons devinrent les feuilles.

Les tarodières

Le taro est généralement cultivé dans l’eau dans des tarodières. On creuse des trous de 20 centimètres de profondeur dans lesquels on dépose le sommet du rhizome surmonté de quelques feuilles. Le sol est ensuite recouvert de feuilles de cocotier sèches pour protéger du soleil et étouffer les mauvaises herbes. La récolte se fait à partir de 8 mois. Ensuite, le taro se dégénère et doit être  remplacé..

Une plante toxique qui doit être cuite

Les tubercules possèdent une chair de couleur crème et de texture sèche un peu farineuse. Ils sont riches en amidon et en fibres alimentaires mais sont toxiques s’ils sont consommés crus. En effet, le tubercule mais également ses feuilles contiennent de minuscules cristaux d’oxalate de calcium acérés qui risquent de provoquer des démangeaisons dans la bouche si la plante n’est pas bien cuite.

Traditionnellement, le tubercule non épluché était grillé sur des pierres chauffées à blanc ou rôti au four traditionnel. Désormais, le Taro se prépare à peu près de la même façon que la pomme de terre (bouilli, à la vapeur, en purée, frites, chips…) ou de manière plus étonnante en crêpes et en glace. C’est la base du fameux poe taro, un mélange de purée du tubercule et de farine de manioc, cuit au four traditionnel dans des feuilles de bananier ou au four conventionnel, puis mélangé avec du lait de coco.

A Tahiti les jeunes feuilles de taro servent à la préparation du fafa. Hachées, elles sont délayées à du lait de coco avant d’être est cuites au four puis sont servies avec du poulet ou du cochon rôti.
Au temps anciens, le taro se conservait sous forme d’une pâte fermentée, appelée popoi. Les taros cuits et pelés étaient fortement écrasés pour former une bouillie épaisse qui était enveloppée dans des feuilles de auti (Cordyline) ou de bananiers.

Les bienfaits du taro

Depuis longtemps, le taro est utilisé en pharmacopée traditionnelle grâce à ses vertus anti-inflammatoire, antidouleur et digestive. Les feuilles sont utilisées pour traiter la diarrhée, la transpiration ou des petites infections cutanées. Les fleurs soulagent des douleurs d’estomac et de celles dues aux hémorroïdes.

A visiter.

La ville de Papeete

Visiter Tahiti c’est aussi prendre le temps de visiter la ville de Papeete qui compte environ 27’000 habitants. Elle est assez étendue et embouteillée le matin et en fin d’après-midi. Son centre-ville reste assez petit et peu se visiter facilement à pied. Le centre est physique représenté par sa petite cathédrale : La Cathédrale Notre Dame de Papeete. C’est à partir de cet endroit que l’on compte tous les kilomètres qui relient les autres villages à la ville Papeete.

   Bravo Vagabonde bonne reponse

   bravo loubete pour la question 4

Voici  quelques photos que mes filles m’ont envoyées de Tahiti.